il faut voir à pas m’emmerder.

September 26th, 2011

contexte :

j’écri(vai)s pour un webzine des critiques de théâtre. j’en ai envoyé 2 dimanche et ai reçu ce mail (tel quel) :

Oui tout cela est bien décevant et surtout récurrent. Vos difficultés rédactionnelles et autres perdurent et vous n’avez pas les moyens de chroniquer le spectacles que vous choisissez.
Vous devriez vous faire la main sur des petites comédies et des one man show

Pour “le conte d’hiver” vous n’avez pas complété pour le jeu des comédiens, le registre contextualisé ou pas…
Je vais mettre l’article bien à contre coeur en ôtant le mot “bêlements” et le dernier paragraphe lénifiant

Pour “Les enfants” vous êtes sans doute passée à côté du propos du metteur en scène. La chronique ne sera pas mise en ligne

ma réponse

M*,

Estimer que j’ai des difficultés rédactionnelles et de compréhension est votre droit - vous êtes, en cela en tout cas, exceptionnelle.
Cette mise en scène du Conte d’hiver était honnête, pas excellente. Je pensais avoir rédigé un papier honnête. Ce n’est apparemment pas le cas et j’étais toute prête à le lire.
Vous pourriez cependant vous adresser à moi avec davantage de respect (et si vous ne me respectez pas, de politesse).
Si mes difficultés sont récurrentes, il était en votre pouvoir de m’indiquer les lacunes de mes textes. En toute honnêteté, la question des costumes ne m’intéresse pas quand je lis une critique. S’il existe une méthode à suivre, une série de sujets à aborder, il aurait été judicieux de me la communiquer.
Vous avez retiré le “bêlement”. Il se trouve que c’était un des ressorts comiques du deuxième acte. 

Bien cordialement,

 A*

2 commentaires to “il faut voir à pas m’emmerder.”

  1. D. Says:

    Ah ben ça, c’est sûr que tu te casserais moins le cul si tu chroniquais les spectacles de J-M Bi*gard, tiens. Quelle poufiasse débordante d’auto-suffisance… Vulgairement vôtre comme toujours,

    D.

  2. Poutine Girl Says:

    oui mais saisirais-je tout ?

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