Archive for March, 2008

Troisième premier post

Tuesday, March 11th, 2008

moi : si une méduse te fait une piqûre, il faut faire pipi dessus
l’amoureuse : … sur la méduse ?!

Moukmouk m’accusait en commentaire du post précédent de ne point avoir de vie.
au contraire.

sachez que je suis très occupée. entre mon mémoire qui avance aussi vite que la toile de Pénélope sauf que bon là c’est ma prof qui me demande de tout refaire après avoir validé et la carte UGC illimitée, je vous dis pas comme je cours. passons.

ce jeudi, dans le but d’aller à Grenoble rendre visite à Armelle, j’ai pris un train à grande vitesse. Rapidement, au sortir de Paris, le ciel est devenu bleu, entre Lyon et Grenoble j’ai vu un peu de neige.
ce ouikende donc, je suis allée à Grenoble et j’étais bien contente. Armelle a la télé -qu’Auguste snobbe-, nous avons regardé les informations. eh ben dites donc Elise Lucet elle a pris un sacré coup de vieux. quoiqu’il en soit, nous avons été médusées par la véritable enquête de fond qu’un courageux journaliste a réalisée sur les jeux olympiques de Pékin. c’est un scandale. oui, parce que je suis courageuse et que je n’hésite pas à m’engager pour les causes justes (clique sur le vide ici à côté parce que pour l’instant mes liens sont en blanc sur blanc : ‘lien), je vous en parle ici.

figurez-vous que les délégués syndicaux les plus importants suivent des cours d’enthousiasme. peu habitués qu’ils sont à crier en choeur comme des cons d’occidentaux, les Chinois doivent apprendre la lourde taâche de supporter. le bureau de la propagande (équivalent communiste de notre très en vogue communication) a ainsi inventé une série de chansons d’encouragements à vocation hypnotique. pour galvaniser les foules et les convaincre de la supériorité du crétin en short qu’ils soutiennent, il existe désormais en mandarin tout l’attirail que des générations de nos plus gros cons ont peiné à imaginer. les Chinois vont ainsi pouvoir s’oublier en masse dans une version locale du fameux hymne on va les enculer. c’était à la fois intrigant et un peu angoissant de les voir apprendre à manier la saucisse gonflable et les applaudissements coordonnés dans une grande salle de classe avec ce sérieux oublié de nos beaux pays, sérieux que confère une bonne police bien efficace et le soucis du travail bien fait.

au retour, à Paris moins une heure, il a commencé à faire sombre. une demi-heure avant Paris, il y avait quelques gouttes qui faisaient la course sur la vitre. 20 minutes avant Paris, ça faisait des gros plocs plocs. bienvenue.

la tronche d'abord

sinon, ce ouikende, c’était les élections (matinales).

(oui j’ai encore du mal.)