Archive for March, 2008

ma vie aussi est fascinante

Wednesday, March 19th, 2008

très occupée à me demander ce que je pouvais faire pour ne pas me mettre au boulot urgent que j’étais, je me suis dit que je pouvais bien poster. l’absence de ferveur que déclenche chacun de mes messages m’encourage au passage moyennement dans la voie de l’écriture. vous avez raison. adopter une attitude froide voire condescendante est la meilleure chose à faire pour calmer ma propension à la mégalomanie.

soyez flattéEs de ce temps que je vous accorde, j’ai d’autres choses à faire:

  1. une page réservée à d’éventuelles photos que je prendrai peut-être
  2. une autre pour Malika la vache
  3. la liste des choses que je veux faire à Paris (aller voir des bébés difformes dans du formol, le musée rodin…)
  4. un mémoire
  5. lire encore des livres de Michel Tremblay (cherchez sur wiki par vous-même, je n’ai pas encore modifié la couleur des liens)
  6. modifier la couleur des liens de mon magnifique blog
  7. acquérir un petit carnet pour y rédiger des notes sur les livres que j’ai lus ces 6 derniers mois afin de pouvoir enfin les classer par ordre alphabétique puis par ordre de lecture comme il se doit
  8. vous raconter mon heure de cours à côté de Sabi*ne, la fille qui a une frange qui part du milieu du crâne et pour qui la pierre de rosette est “le cailloux de champolion là”.
  9. chercher des esclavagistes pour un mois ou deux cet été (des idées ? des propositions ?)

sachez tout de même que je retire une partie de ce que j’ai pu dire de mal sur la capitale. non, il ne fait pas tout le temps moche et pluvieux et venteux et frileux. j’ai eu l’occasion de le vérifier à plusieurs reprises cette semaine, quand on est retenue à l’intérieur, le ciel est bleu.

enfin, je le signale parce que c’est une source de joie pour moi et que je tiens à partager mes moments d’enthousiasme, aussi peu débordants soient-ils, plusieurs personnes ont remarqué que je m’étais peignée aujourd’hui. constater qu’autrui est attentif à mes efforts d’hygiène -et à mon pandemonium dreadeux- est toujours un plaisir.